Récapitulatif de l'épisode 5 de la saison 2 d'American Gods : avons-nous un contrat ?

Récapitulatif de l'épisode 5 de la saison 2 d'American Gods : avons-nous un contrat ?

Nous avons dépassé le milieu de la saison 2 d'American Gods et cela devient de plus en plus déroutant de minute en minute.

Si cet épisode a prouvé quelque chose, c'est que l'influence de Bryan Fuller demeure mais c'est une marque de contrefaçon diluée et la deuxième saison deDieux américainsa atterri sur une voie ferrée cassée en direction de destinations inconnues. Ce n'était pas un très bon épisode; plus désordonné que d'habitude dans un creuset de livres de contes assemblés par un artiste distrait griffonnant dans des tentatives de philosophie à demi-cœur.


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La question de la suprématie blanche et de l'oppression noire suscitée en l'épisode de la semaine dernière se poursuit avec une scène d'ouverture graphique mettant en vedette le lynchage et le meurtre d'un suspect de meurtre réel Will “Froggie” James.

Le 11 novembre 1909, James a été assassiné par une foule au Caire, dans l'Illinois, pour avoir prétendument assassiné une jeune femme blanche, Mary Pelley, 24 ans. Au fait, c'est quoi avecDieux américainset lancer Emily Browning pour jouer des femmes au hasard à travers l'histoire ? Elle a joué Essie MacGowan dans 'A Prayer for Mad Sweeney' et Mary Pelley dans cet épisode. Essayent-ils de dire que Laura est un sosie ou quelque chose du genre ? Parce qu'ils n'utilisent aucun autre membre de la distribution pour les flashbacks historiques.

Shadow voit James lynché et mutilé dans un cauchemar, puis se réveille pour voir James le regarder dans le miroir alors qu'il expérimente certains des souvenirs du mort. Il ne mentionne rien de tout cela à M. Ibis quand il se lève parce qu'il est le maître de fermer les yeux sur les drapeaux rouges évidents. Cependant, il finit par passer la journée avec Ibis de toute façon après que mercredi ait déclaré qu'il partait en solo pour la journée, mais pas avant de planter la petite plante d'Iktomi et de l'arroser avec son urine, l'appelant l'arbre du monde.

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Sweeney et Laura découvrent l'amour

À ce stade, Laura et Mad Sweeney sont les meilleurs personnages de la série et le seul espoir de rédemption. Cet épisode présente des moments majeurs pour les expéditeurs de Laura et Sweeney, une relation que je viens de découvrir s'appelle Madwife sur les réseaux sociaux qui continue de dominer la quasi-totalité de l'autre récit existant surDieux américains.

Plus de Drame

La relation de Mad Sweeney et Laura est probablement celle qui a le plus changé dans la transition livre-série. Dans le livre, ils ne se sont jamais rencontrés, mais maintenant bien avancés dans la série, Sweeney est supposé être le véritable amour de Laura, comme l'a dit le baron lorsqu'ils se sont rencontrés à la Nouvelle-Orléans : « Dans la mort est son véritable amour, mais elle le trahit aussi. ' La ligne fait davantage référence à ses pulsions suicidaires, mais la caméra se tourne vers Sweeney et son regard douloureux lorsqu'il est dit, donnant une insinuation à double sens.


Après s'être séparés à 'Muninn', Sweeney a décidé de se rendre à la Nouvelle-Orléans et d'y attendre Laura, sachant qu'elle finirait par arriver, et quand elle le fera, il reste fidèle à sa parole et l'emmène au vaudou Loas Baron Samedi (Mustafa Shakir) et sa femme, Maman Brigitte (Hani Furstenberg) qui offre un commerce de vérité en échange de la résurrection.

Le baron lui prépare une potion qui nécessite deux gouttes de sang infusées d'amour qu'elle doit trouver par elle-même, mais avant de la lui remettre, il se demande ce qu'elle fera une fois ressuscitée et sa réponse est d'avoir des relations sexuelles avec lui.


En raison de leur lien avec les morts, le Baron et Brigitte sont les deux seules personnes que Laura peut ressentir. En choisissant de toucher, d'embrasser et de s'adonner au plaisir, elle choisit de ressentir à nouveau ; il a fallu mourir pour qu'elle réalise enfin ce que la vie a à offrir.

Pendant que cela se produit, Sweeney et Brigitte ont des relations sexuelles dans une autre pièce et comme elles le font, les images de l'épissage des deux couples, les obligeant à s'engager dans un quatuor par procuration. Les deux accouplements se chevauchent jusqu'à ce que, par magie, Laura et Sweeney soient celles qui font l'amour, se regardant profondément dans les yeux comme sous le choc, ce qu'elles sont probablement. Toute la scène ressemble au récit d'un poète ivre d'une orgie.

Au matin, les moments sont terminés et les deux se sentent un peu honteux, à savoir mal à l'aise à propos de tout cela, balayant tout ce qu'ils ressentent comme de la magie vaudou. Incapable de faire face à ses sentiments, Laura dit à Sweeney qu'il ne récupérera jamais sa pièce et part.

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Les nains et Allah

Pour être honnête, je ne vois plus l'intérêt de la relation entre The Jinn et Salim. Il était beau lorsqu'il a été présenté, mais s'est depuis estompé dans l'arrière-plan, passant de la romance à une imitation terne d'un couple divorcé. Le djinn traite Salim comme quelqu'un pourrait traiter son cousin irritant qu'il doit conduire pour le week-end, et Salim agit comme s'il n'avait aucune idée de l'émission dans laquelle il se trouve.

J'ai l'impression qu'une nuit avec The Jinn était le meilleur sexe que Salim ait jamais eu et il ne peut pas le laisser partir. Si la série essaie de laisser entendre qu'ils sont amoureux ou qu'ils finiront d'une manière ou d'une autre ensemble, ils feraient mieux de commencer à s'y prendre différemment car ce n'est pas convaincant.

Mercredi sort pour les rencontrer et les trois rendent visite à un nain nommé Alviss (Lee Arenberg) avec une demande de réparer la lance de guerre de mercredi, Gungnir. Le voyage est inutile car la lance a besoin de nouvelles runes, ce qui n'est pas le domaine d'Alviss, et elles nécessitent l'aide d'un nain différent.

Autour de ce point, il y a une sous-intrigue mineure dédiée à la perception humaine de la religion influencée par le conditionnement social insérée dans le récit. Il est difficile de croire en un seul Dieu quand il y a littéralement d'autres dieux d'autres religions qui se disputent devant vous, mais Salim est un fervent musulman, et cela irrite naturellement les djinns.

Ce n'est pas la religion de Salim qu'il désapprouve, mais l'amour aveugle que Salim ressent pour son Dieu, pensant qu'Allah ne peut rien faire de mal. Le djinn le traite d'ignorant parce qu'il croit que son Dieu est le seul vrai Dieu, surtout quand il n'a jamais su que ce qui lui a été écrit et dit par d'autres humains.

Dans le monde de Salim, un homme non pieux est tout sauf un étranger pour lui. Juste une autre raison pour laquelle il est probablement mystifié par son Jinn, quelqu'un qui n'adore rien ni personne. Il fait ce que commande mercredi parce qu'il lui doit, indifférent à la guerre à venir, une déclaration qui équivaut à un calcul avancé envers Salim.

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La malédiction de Will James

En passant la journée avec M. Ibis, Shadow entend l'histoire de Will 'Froggie' James et de sa douleur qui a maudit la ville du Caire. Lorsqu'il a été pendu puis mutilé par une foule de blancs rieurs, il a regardé les siens et s'est senti trahi lorsqu'ils n'ont offert aucune aide.

En réponse, James a maudit la communauté noire du Caire, et le dernier corps sur la table de M. Ibis est sa dernière victime, tout comme la famille de Ruby Goodchild. M. Nancy, cependant, a une autre théorie selon laquelle Ibis et la seconde moitié largement invisible du salon funéraire, M. Jacquel, ont créé la malédiction de Will James afin de maintenir un flux constant de morts à Cario.

Plus tard, Shadow suit M. Jacquel sous la forme d'un doberman dans une ruelle où il rencontre le fantôme de Will James. Parlant comme quelqu'un qui a vu une centaine de films de maisons hantées et de fantômes, la tête décapitée enflammée sur un poteau qui est l'esprit de Will James est la plus étrange que j'aie jamais vue. Il « infecte » Shadow avec la douleur et les tragédies auxquelles les Noirs sont confrontés en Amérique depuis des décennies afin qu'il puisse diffuser son message.

Shadow se rend aux funérailles de Goodchild et donne le message de James, 'memento mori', un dicton latin médiéval chrétien traduit par 'souviens-toi que tu dois mourir'. Une fois qu'il a dit cela, Shadow est libéré de l'emprise de James, et c'est à ce moment-là qu'il a son moment hebdomadaire 'J'en ai assez'.

Pourquoi s'embête-t-il plus ? Il devrait juste leur dire de le pousser et de partir.

Comme d'habitude, ils détournent ses questions, parlant par énigmes ou dans le cas de M. Nancy, insultant les énigmes et Shadow se dirige vers sa chambre comme un enfant de cinq ans lorsqu'on lui dit qu'il est trop jeune pour boire de la bière avec les copains de son père. Soit dit en passant, quelle que soit la confrontation entre Nancy et Ibis, lorsque Nancy accuse Ibis d'avoir tué ses fidèles, semble être terminée car ils prennent un verre avec mercredi comme si de rien n'était. Les dieux sont trop inconstants de nos jours.

Suivant : Récapitulation de l'épisode 4 de la saison 2 d'American Gods : la technologie est obsolète

À la toute fin, nous avons droit à un plan complet de la plante d'Iktomi mercredi uriné au début pour voir qu'elle est devenue beaucoup plus grosse en quelques heures seulement. À la fin de la nuit, il aura probablement la taille d'un pommier adulte.

Le prochain épisode deDieux américainssera diffusé dimanche soir à 20h00. ET sur Starz.

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